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Honneur à la cuisine chinoise !

Aux saveurs immodérées et aux multiples aromes, la gastronomie chinoise renferme un art culinaire unique. Les cultures locales se reflètent dans chacune de leurs techniques de préparations et d’assaisonnements de leurs mets. La diversité de ses variantes, provenant du chinois simplifié, du traditionnel et du pinyin, nous incite à la classer au pluriel : les cuisines chinoises. L’aspect régional et intemporel de cet art prône une diversité aux mille délices.

Le Yin et yang de la cuisine chinoise

Fidèle à leurs cultures, la balance du Yin et Yang classifie les produits alimentaires chinois. Ils ont une catégorisation qui sépare les aliments en deux groupes : l’un dans le Yin et l’autre dans le Yang.

Dans la catégorie du Yin se trouvent les légumes, les fruits, les légumineuses et les racines. Il s’agit des aliments féminins qui se définissent par leurs caractères humides et mous. Parmi les classements du Yang, nous pouvons retrouver les aliments épicés et frits : Les différentes sortes de viandes figurent dans ce cadre. Il s’agit des produits protéinés, aux effets fortifiant, tonifiant et réchauffant.

Les diversités régionales

Comme les régions mettent en exergue et cultivent chacune un art culinaire bien approprié et personnalisé, nous pouvons vous présenter quelques diversités de cuisines régionales chinoises. Pour un détour dans ce continent, n’oubliez pas de goûter à chacune de leurs spécialités. Vous pouvez y découvrir  les cuisines de : Shandong, Jiangsu, Fujian, Hunan, Zhejiang, Sichuan, Guangdong et Anhui. Ce sont les huit grandes cuisines qui définissent la cuisine chinoise.

Les bases des techniques  de cuisines chinoises

cuisine-chinoiseLes concepts qui tournent autour de cette gastronomie repose sur les techniques de cuisines chinoises ayant comme principe de base l’harmonie et l’équilibre des mouvements et des saveurs. La culture locale joue du mélange entre les cinq saveurs : l’aigre, le sucré, le piquant, l’amère et le salé. Quant aux techniques, il s’agit de : monter, baisser, flotter, émerger, plonger et sombrer. Ces mouvements définissent un mode de traitement particulier des aliments : la montée, l’extériorisation, la descente et l’intériorisation.

Pour vous donner un aperçu de la richesse culturelle de cet art, voici quelques exemples de plats chinois : le Henan ou des têtes de canard épicés, du Dongbei ou du vers à soie, du Sichuan ou de la marmite de poisson épicée, du Wuhan ou des pâtes au sésame…

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